Monsieur Araignée, tranquillement,
Rumine des pensées amères
Il se dit : "Fort heureusement,
Je suis un mâle célibataire"
Qu'il aurait été un mari aimant,
Mais cela lui aurait attiré des misères
Qu'il aurait aimé avoir des enfants,
Mais il n'aurait jamais été père
Car sa femme, avant l'accouchement,
L'aurait dévoré, sourde à ses prières
Et ses petits n'auraient su que Maman,
De Papa, était la meurtrière
Oui pense t-il, sereinement,
J"ai su resté célibataire
Et ainsi je profiterai pleinement
De ma vie au fond de la clairière.
Petit poème dédié à tous les Monsieur Araignée dévorés par leurs Veuves Noires.
mercredi 24 septembre 2008
lundi 22 septembre 2008
jeudi 18 septembre 2008
Les richesses du français
Expression du moment :
"Cela m'en touche une sans faire bouger l'autre" ou comment dire, de façon imagée, son indifférence par rapport à un sujet donné. Cette charmante figure de style est attribuée à Jacques Chirac qui aurait pu dire : "Mes chers Compatriotes, la fracture sociale, eh bien,... Cela m'en touche une... sans faire bouger l'autre !" (rire gras)
Malheureusement, je ne peux point l'utiliser, vu que dans mon cas, c'est anatomiquement impropre. Et cela me chagrine énormément, je puis vous l'assurer.
"Cela m'en touche une sans faire bouger l'autre" ou comment dire, de façon imagée, son indifférence par rapport à un sujet donné. Cette charmante figure de style est attribuée à Jacques Chirac qui aurait pu dire : "Mes chers Compatriotes, la fracture sociale, eh bien,... Cela m'en touche une... sans faire bouger l'autre !" (rire gras)
Malheureusement, je ne peux point l'utiliser, vu que dans mon cas, c'est anatomiquement impropre. Et cela me chagrine énormément, je puis vous l'assurer.
Ami(es) de notre riche langue française, je vous dis : Bonsoir.
Inscription à :
Articles (Atom)