mardi 28 octobre 2008

Ma famille

Partir 
Ma Famille est mon Roc
Celui où je peux m'accrocher
Avec elle, tout se débloque
Je me sens en sécurité

 Ma famille est mon soutient
Celui sur lequel je peux compter
Si tout s'effondre, qu'il ne reste rien
Avec elle, je peux toujours espérer

 Ma famille est mon doux cocon
Celui où j'aime me lover
Quand je doute, à tort ou raison,
Elle reste toujours à mes côtés

 Sombre, j'en viens à redouter
Qu'un jour, ma famille se disloque
Et que je ne ne puisse plus espérer
Ma Famille est mon Roc.

jeudi 23 octobre 2008

"Plaisir d'offrir... joie de recevoir"

Quand tu croises au hasard 
Une femme qui fait battre ton coeur 
Au lieu de penser "c'est sans espoir" 
Offre lui une fleur 

Quand tu es heureux 
Et que tu partages ce bonheur 
Sent l'importance d'être deux 
Offre lui une fleur 

Quand le temps qui passe 
T'en fais oublier l'heure 
Avant que l'aimée ne s'efface 
Offre lui une fleur 

 Quand l'aimée est parti 
Et que tu es seul en pleurs 
Pour faire ton deuil de cette vie 
Laisse lui une fleur 
  NB : je garantis n'avoir reçu aucunes aides financières ou autres de service de livraison florale ou de fleuriste pour l'écriture de ce post !

dimanche 19 octobre 2008

Tristesse

Les prières 
La Prière - Santa Maria del Poppolo - Rome
Et je pleure 
Petites larmes 
Vaines larmes 
Ô Douleur

dimanche 5 octobre 2008

Réveil urbain

Les lumières urbaines m'éblouissent et me fascinent. Quand arrive la fin de la nuit, je frotte mes yeux fatigués, j'entrouvre mes paupières endormies, des traces fugaces de mon sommeil, ils ne me restent que les marques des plis de mon lit imprimés dans ma joue. La lumière de l'aube sur la ville endormie, est douce vue d'en haut. Chaque matin, le même combat se répète, du fond de ma couette, mon réveil me tire... à regret je quitte mon lit. Vue d'en bas, le réveil de la ville se fait dans une cacophonie générale, tous ces gens se sont arrachés à leur lit... à regret. Bâillements et étirements, petite gymnastique matinale qui m'aide à me réveiller, j'émerge doucement du brouillard, la radio s'allume, au milieu des nouvelles, je me penche sur mon café brûlant. Le bruit des klaxons, l'énervement général, la course contre le temps qui défile, le monde se réveille bien souvent avec la gueule de bois. Tranquillement, je sirote mon café et mange mes tartines en lisant un journal qui traîne, en écoutant distraitement la radio. L'énervement est à son comble quand le trafic coince, que le train a du retard, les incidents techniques se suivent et perturbent la routine quotidienne. Il me reste encore à me laver, un brin de toilette puis m'habiller, doucement, je lace mes chaussures avant de rejoindre la cohue. Dans la rue, les derniers réverbères s'éteignent, la ville se recouvre de gris. J'aime les lumières de la ville, elles m'éblouissent et me fascinent... vue d'en haut.

mercredi 1 octobre 2008

La Vierge à l'Enfant

La Vierge à la grappe de Pierre Mignard (1640-1650 ?) - détail Sully 2ème étage salle 34 - Musée du Louvre
Au-delà de tous les symboles glissés dans le tableau, tel que la grappe préfigurant l'Eucharistie, que le peintre a malicieusement glissé dans son oeuvre, c'est la représentation de l'enfant Jésus que je trouve surprenante, tant il est rare de le voir dans des attitudes enfantines.